J’ajoute que l’auteur est historien d’art. Pourquoi s’imagine-t-il que c’est suffisant pour être écrivain ? J’ajoute encore que le texte reste une énigme dans la mesure où, et à moins que le traducteur soit vraiment mauvais, les Anglo-saxons ont au moins ce mérite de savoir raconter une histoire, diriger, « ficeler » un récit.

 

29 décembre 2005