J’ai tout de même retrouvé, à la page 129, la phrase du « tire-bouchons » : « Par une belle invention du peintre elle foule aux pieds les trésors de la terre, mais absolument comme si elle piétinait des raisins pour en extraire le jus ou plutôt comme elle aurait monté sur des sacs pour se hausser ; et elle tend à Dieu son cœur enflammé, disons mieux, elle le lui “ passe ”, comme une cuisinière passe un tire-bouchons par le soupirail de son sous-sol à quelqu’un qui le lui demande à la fenêtre du rez-de-chaussée. » Elle se réfère à La Charité de Giotto, que je ne suis toujours pas allé voir (alors que Padoue est à vingt minutes en train de Venise...).

 

31 juillet 2011