« Quand on s'appelle Polignac, aller renier son nom pour épouser une lavandière ! me disait-il. Car tout le monde sait, Céleste, que la mère de la duchesse lavait le linge de Monaco. Je ne verrai plus le comte Pierre. Non seulement il ne l'a plus revu un jour, le comte, devenu duc, lui a fait porter un exemplaire d'un de ses livres en lui demandant une dédicace. M. Proust a refusé : Non, non. Je ne peux me résoudre à écrire son nom. [...] Il ne plaisantait pas avec ces choses. »