« Je me suis souvent demandé comment il pouvait supporter cela, comment il
pouvait passer de son silence, de son repos, de son travail solitaire et de la
lueur de sa petite lampe à l'éblouissement des gens et des lumières, au bruit et
à des atmosphères qui, pour lui, devaient être pleines de microbes. Chaque fois
que je lui posais la question, la réponse était la même : “ Il le faut,
Céleste... ” C'était pour son livre qu'il le fallait, voilà ce qu'il voulait
dire. Pour aller chercher la provende de son livre,
il aurait fait n'importe quoi. »