Il y a une heure, je considérais les deux piles de livres qui m’attendent sur le second bureau. Rien ne m’attirait. Alors, j’ai pris le Proust de Cattaui (après vérification, il ne semble pas avoir de rapport avec celui de 1952) et debout sous le Velux j’en ai lu l’introduction de Pierre de Boisdeffre (pas mal). Je vais peut-être le poursuivre…