Je parviens à tirer quelques bouffées avant l’embarquement, encore que j’aie eu largement le temps d’un fumer trois vu que l’avion a tardé à se vider de ses passagers. Mais nous voilà partis. Mon ventre sonne creux. J’ai repris la lecture de The Bell Jar (que signifie donc ce titre, le « sale son de cloche » ?), quelques pages, sans grande conviction, avec distraction. Nous avons de nouveau les places près de l’issue de secours que tout le monde semble bouder alors que ce sont les meilleures. Ou alors l’ignorent-ils ? (Aller à Budapest pour en revenir avec un poche états-unien...)
20 avril 2005