J’ai achevé Sur le Niger qui, dans le ton, m’a fait penser à ce livre, dont je ne me souviens plus du nom de l'auteur, sur la traversée des Andes en voiture : sec, direct, précis. Un soldat. Et ça ne manque pas d’habileté. Je me suis même demandé si le texte n’avait pas été remanié. En même temps, il y a trop de fautes d’orthographes, de coquilles, de fautes de typo typiques (et compréhensibles) chez une personne ordinaire qui tape à la machine… C’est dommage que ça soit si court. Fautes corrigées et conformé, il aurait parfaitement pu être publié ailleurs. (Cette exploration me surprend de plus en plus. Vais-je tomber sur un « génie » ?)
26 avril 2005