Pasolini en couverture du Monde 2 de cette semaine, cinquantième anniversaire de sa mort – pourquoi célèbrent-ils les décès comme s’ils s’en réjouissaient ? – ; « sa mort hante toute l’Italie » dit le titre : l’Italie n’en a rien à foutre de Pasolini, vivant ou mort (j’ai bien fait de résilier mon abonnement)… Il me semblait qu’il me restait un de ses livres dans la souffrance ; en effet, La vita violenta. Je l’en ai sorti, l’ai entamé. J’avais du reste fait une tentative il y a quelques années : les dialogues des gamins en dialecte romain – ou parlé des quartiers – m’avaient vite rebuté (et aussi l’écriture très classique). Dialecte et vocabulaire me freinent de nouveau et je n’ai pas envie de passer mon temps le nez dans le dictionnaire. Je verrai…

 

28 juin 2025