261 « inhumain »
À propos de l’avortement d’une petite fille violée par son père, condamné (l’avortement) par une partie de l’Église : « […] il ne s’agit pas d’un débat pour ou contre l’avortement. Il s’agit d’inhumanité. Si, comme le prétend l’archevêque de Recife, la loi de Dieu condamne la petite fille et ses proches, alors, c’est que la loi de Dieu est inhumaine, c’est que Dieu est inhumain. » Je ne pense pas que la question se pose dans ces termes. De quelque manière que ce soit, Dieu ne peut être inhumain ou humain, comme l’être humain ne peut être divin ou non… (Dieu a-t-il prévu ce cas de figure, l’enfant incestueux ? Oui, s’il est Dieu, et il l’a permis, donc, d’une certaine manière, voulu. Quant à savoir s’il condamnerait cet avortement-là…)
263 « dis-pense » ?
Je viens de comprendre en relisant : c’est « dispense »… « Invoquer la Loi au lieu de regarder le Christ, dis-
pense d’exercer l’amour […]. » J’avais lu « dis-pense », de « dire » et « penser »…
289 soldes basses
« Je vais faire des soldes tellement basses
qu’il n’y aura rien à payer. » Non : bas…
Au fait, je l’ai achevé. Je ne sais à quoi je m’attendais, mais je m’étais posé la question de la manière
de terminer ce type de récit. Finalement, ça s’achève par une ode à la foi et à Dieu, c’est décevant…
10 août 2021