J’étais en bas, avais repris Parra, étais tombé sur un poème connu : Qué gana un viejo con hacer gimnasia. Il figure dans Antipoems et je l’avais traduit. Ma première idée a évidemment été de comparer la traduction de Bernard Pautrat et la mienne. Suit, après 4 sonetos del apocalipsis, A propósito de escopeta que j’ai aussi traduit. En comparant le texte original, au cas où il y aurait des différences, je relève « hay que llenar el mundo con violetas » dans Poèmes et antipoèmes, « hay que llenar el mundo de violetas » dans l’autre. De même, la disposition est différente et je remarque incidemment (je suis étonné de ne pas m’y être arrêté la première fois) « cagar », « chier », d’où vient sans aucun doute « caguer » (est-ce d’ici, reste de l’occupation espagnole ?)… Je viens de faire une comparaison rapide des traductions ; j’ai fait quelques erreurs, d’étourderie ou de méconnaissanceSiete trabajos… il me semble l’avoir fait aussi. Oui… Comparaison avec le texte original : « tirandole » Lançon, « tirandoles » Werner...

 

2 juin 2018