J’ai provisoirement mis Tristano de côté pour revenir à Parra un peu délaissé. Il y a un changement d’écriture, « Camisole de force » par exemple, mais rien n’est véritablement daté. L’ensemble est composé de « tranches » dont certaines couvrent une vingtaine d’années. Parra est chilien, c’est-à-dire habitant (citoyen ? revendiquerait-il le terme ?) d’un pays particulier et il me paraît indispensable, en sachant qu’il n’était pas insensible à l’histoire de son pays (et comment pourrait-il l’être ?), de dater chacun de ses problèmes (proposé par le correcteur à la place de « poèmes » mal tapé ; mais un poème est bien un problème, non ?). Mais il ne l’a peut-être pas fait...

 

19 avril 2018