J’ai passé la journée à l’affût du moindre mouvement de mes viscères. Il y en a eu, chacun d’eux me faisant frémir et parfois même pâlir. J’ai été mal fichu jusqu’au repas. J’ai tout de même poursuivi le 23 et le 24 mars avant de revenir aux derniers jours de janvier qui n’avaient pas été revus après lecture sur papier. Éléonore est montée travailler tandis que je m’installais devant la télé pour m’amuser avec la télécommande. Je suis tombé sur un documentaire consacré au Japon avec une apparition de Murakami Ryu. J’ai enregistré, puis ai fait un petit tour d’horizon qui a été identique à ceux qui l’ont précédé : le vide quasi-total. J’ai finalement coupé le son et me suis remis à Pepys, fin mars début avril, sans grande conviction au départ, puis avec un certain intérêt. Mais je me demande tout de même où se situe exactement l’attrait, voire l’intérêt, de la lecture de la totalité...
10 octobre 2009