Après la douche, je cherchais ce qui pourrait accompagner ma première cigarette. Je n’ai toujours pas reçu les Tabucchi que j’ai commandés, je n’ai pas d’autre Italien qui m’intéresse, je n’avais pas envie de français et rien de l’anglais, dans la souffrance, ne m’attirait. Si. Pepys. Comme c’est drôle. J’ai attrapé le volume IV, suis descendu pour l’entamer. Charme, tout de suite. (Avec cette répétition pratiquement immuable de la manière de rapporter les choses, ce texte peut aussi être une illustration de la stagnation du temps...)
31 août 2009