En parallèle de Segalen, Tchekhov et l’éros romain, j’ai entrepris le deuxième volume de Pepys, 1661. Mois de janvier avalé hier soir… Deuxième tour de manège. D’où provient exactement le plaisir de cette lecture qui fonctionne comme une ritournelle, chaque jour sensiblement égal au précédent, commençant de la même manière (« Woke up ; in the morning at my office » et le dimanche « at church ») et s’achevant pareillement (« To bed ») ?

 

14 mai 2002