Je viens d'achever Oser. Que puis-je en retirer d'autre que consternation ? Que fait donc Jean-Stéphane dans ce foutoir ? Comment cette c« première édition du Nord » [sic] peut-elle avoir l'espoir de durer avec une telle médiocrité ? Ai-je déjà écrit que ce n'est pas l'auteur qu'il faut juger et blâmer, mais bien l'éditeur : ce n'est pas un mauvais livre de « mauvais » auteurs – que je me garderai bien de juger –, mais bien un mauvais livre d'éditeur. (Ou un livre de mauvais éditeur.)

24 février 1999