Il s'agit de sa retraite de six jours dans une cellule de l'abbaye d'Orval (ponctuée des flacons de bon cru qu'il a apportés avec lui !).
Je l
'ai lu avec ravissement. Jean-Stéphane est quelqu'un d'étonnant (qui mérite nettement mieux que ce vulgaire qualificatif,
mais, à l'image du précédent livret, celui-ci me laisse dans une brume, dans une vapeur qui me brouille les esprits)...

6 juin 1998