169 « jusqu’au où… » dernière ligne
« […] montrent jusqu’où on peut aller trop loin. » Cliché qui, si « on » y regarde bien, ne veut rien dire. Strass d’écriture, fantaisie à l’adresse au commun qui hochera la tête sans pourtant rien y comprendre…
176 et 177 SIPO MATADOR (Matador, tueur, non ?...)
Il s’agit d’un « arbre parasite » mentionné par Nietzsche : « […] Cipo matador, autrement dit la Liane assassine. » (Une liane est-elle un arbre ?...) Le matador est bien un tueur (y a-t-il un féminin ? que donnerait la tueuse en espagnol ? apparemment c’est un autre mot : « asesina »…) Curieusement, il ne le dit pas...
178 « qui coulent »
« Ensuite naissent à droite et à gauche deux branches, ou plutôt deux bras qui s’allongent rapidement : on dirait des ruisseaux de sève qui coulent […]. » Ces branches, ces bras vont à la quête du sommet de l’arbre qu’ils parasitent ; l’écoulement se fait toujours de haut en bas…
185 « alternatives »
« […] pour évoluer eux aussi vers des formes alternatives. »
Encore une trappe médiatique ; « vers d’autres formes »…
193 « temporalité végétale »
« Tout à notre temps, illettrés du temps des plantes, nous n’avons rien vu du détail, nous sommes passés à côté de la temporalité végétale. » Le temps est le même pour tout et puisqu’il n’existe pas…Et j’ai envie d’ajouter : « à chacun sa vie »…