J'ai bien entamé le Parfum de glace que j’avais acheté avec quelques réticences liées au titre de l’un de ses précédents romans, noté en quatrième, La Grossesse. Yoko est une femme et j’y sentais poindre une sorte d’Annie Erneaux (Herneaux ?) nipponne. Rien de tout cela et, contre toute attente, c’est assez remarquable. Et puis, c’est bien écrit (traduit ?)...
1er septembre 2004