Notes :
Ulysse le sanguinaire : pas de pitié
24 vin doux
« Maron, terrorisé, me donne en échange sept pièces d’or finement ciselées, un cratère en argent massif et douze amphores pleines d’un vin doux sans mélange, dont personne, excepté sa femme et son intendante, ne connaissait l’existence… Une boisson divine, qu’il faut mélanger à vingt mesures d’eau, pour que tout son arôme se développe… »
Je me demande quel goût ce mélange pouvait avoir… (Je note au passage la belle rupture de phrase ; est-elle dans l’original ?)
*
(Du coup, j’ai jeté un œil à la version de Jacquottet que j’avais conservée parce que c’était une belle pièce et qu’il s'agissait de Jacquottet – et aussi dans l’éventualité de sa lecture. Elle est divisée en chants, fait cinq cent pages contre les cent quatre-vingt de celle que je viens de lire. C’est donc bien un condensé, voire un compressé...)
24 mars 2016