« Constante, en sa passion pour l’indigne époux qui lui préparait le coup fatal,

elle s’offrait en holocauste pour son bonheur et la paix du royaume. »

C’est-à-dire ?

En effet, le sens premier n’a rien à voir avec celui que le mot a pris depuis la Deuxième guerre mondiale : holocaustum, brûlé tout entier ; « chez les Juifs, Sacrifice religieux où la victime était entièrement consumée par le feu ». Par extension tout sacrifice religieux, puis « sacrifice total, à caractère religieux ou non »...