Je suis rentré, ai préparé le lapin, lu quelques pages de Pepys avec un verre d’Apremont, nous avons mangé, j’ai lu quelques pages des Yapous, regardé (assommé) quelques images d’une émission stupide avec Éléonore avant de retourner dans le jardin d’hiver d’où j’entendais les cris hystériques de la gamine des voisins ; j’y ai lu quelques pages de Musil. C’est ce qu’on appelle de la dissipation...

 

7 juillet 2010