Achevé. J’ai beaucoup peiné sur ce volume, mais il fallait que je le finisse, il fallait que je sache comme il se finissait. Bien, mal, je l’ignore. Mais c’est une fin juste, d’une grande justesse. Suit une longue postface en deux parties, l’une de 1991, l’autre de 1993. Je l’ai avalée. Elle agit véritablement comme un point d’orgue aux dernières pages et malgré les difficultés que j’ai eues à achever ce volume, je déclare qu’il s’agit d’un texte admirable, exceptionnel. Unique. Non, rien de tout cela, mais le qualificatif me manquait, et me manque toujours…

 

31 août 2011