Je lis, entraîné, emporté, en me demandant ce qui suscite cet intérêt alors que rien, dans le sens narratif, dans le sens d’une intrigue, ne se passe, alors qu’il ne s’agit au bout du compte que d’une longue description par le menu d’un monde imaginaire sur un ton, teinté de désuétude, tout à la fois historique, philosophique, scientifique, métaphysique, où les personnages ne sont là que comme garnitures, qui ne sont qu’un prétexte à une réflexion et une vision. Yapou : la souffrance devenue plaisir par la foi...

 

21 juillet 2007