« Le membre sectionné était ensuite transformé en pénis intérim. S’il suffisait qu’une femme ôtât son pénis pour redevenir une vraie femme, les concubins n’avaient évidemment plus cette liberté et, le fait d’être définitivement femme ne leur conférant d’ailleurs pas les mêmes privautés dévolues aux Ehsiennes, ils ne gagnaient au change que de se faire traiter de couillon (phony). Malheureux concubins que leurs maîtresses abusaient à loisir, équipées de leur propres pénis ! »

 

Ce n’est pas moi qui souligne. Après ma longue période de passivité (manque de réaction) face  aux événements de ce volume, cette pratique m’a tout de même fichu un coup...