En vérité, cela démarre dès la page 36, de la
manière dont les Japonais ont été
réduits à l’esclavage pour, plus tard, devenir
des yapous. Je relève :
« Ce n’est pas tant qu’ils avaient servi de cobayes lors des premières
déflagrations atomiques […]. »
« […] les constantes météorologiques de la
région [suite aux essais nucléaires dans le Pacifique – mais avaient-ils déjà
lieu à cette époque ?] étaient telles que l’archipel avait été fréquemment
arrosé par ces pluies fatales. Les conséquences avaient été catastrophiques pour
cette tribu dont le riz constituait l’alimentation de base : les Japonais ne
surent ou ne purent renoncer à leur bol de riz, tout en sachant pertinemment
que, par rapport au blé ou à la viande dont on se nourrissait ailleurs, le riz
retenait les radiations en quantité double. »
« La pollution de l’air avait atteint un niveau
critique dans l’ensemble de l’hémisphère nord. » [déjà ? à cette époque ?]
« Les Japonais, peuple qui n’avait fait que singer la civilisation blanche, n’en eurent pas non plus les capacités. »
« La Mort régnait et en peu de temps, en
vraiment très peu de temps, ce peuple qui avait vécu dans la plus grande
normalité disparut de la carte. Le “ Japon ” s’était éteint. Seules, dans les
vestiges de cette civilisation, des hordes de simplets et de débiles surent
faire montre d’une résistance surprenante […]. »