Nous ne parvenions pas à nous décider : rentrer ou non. Le temps n’aidait pas : pluie et fraîcheur d’automne. L’Orval que je venais de boire en appelait une autre. Nous nous étions mis d’accord pour un verre à Sainte Catherine, mais nous avons finalement abouti à la terrasse du Métropole où j’ai pris une Westmalle. J’avais avec moi mon sac Pêle-Mêle et mes achats, dont La Vénitienne et autres nouvelles de Nabokov chez Gallimard 1991. La majorité d’entre elles ont été traduites du russe (sinon, je ne l’aurais pas pris)…

 

24 juillet 2011