J’ai lu Stupeur que j’ai achevé debout
près du bureau d’Éléonore alors qu’elle consultait son courrier. Comme à
l’accoutumée, je suis pris entre l’agacement et l’attraction ; mais l’attraction
l’emporte. Je suis tout aussi séduit et intrigué par cette bonne femme dont le
visage sur la couverture de la réédition en poche me taquine.