« Les employés qui choisissaient d’aller plutôt au quarante-troisième étage perdaient à attendre l’ascenseur, un temps qu’ils eussent pu mettre au service de la compagnie. Au Japon, cela s’appelle du sabotage : l’un des plus graves crimes nippons, si odieux qu’on utilise le mot français, car il faut être étranger pour imaginer pareille bassesse. »