« Les parents se permettent les plus délicats
lyrismes quand il est question de nommer une fille. En revanche, quand il s’agit
de nommer un garçon, les créations onomastiques sont souvent d’un sordide
délirant. Ainsi, comme il était on ne peut plus licite d’élire pour prénom un
verbe à l’infinitif, monsieur Saito avait appelé son fils Tsutomeru,
c’est-à-dire “ travailler ”. »