Après Ooka, j’ai lu Noriko ; tout se passe comme s’il s’agissait du XIXe siècle ; pas un seul élément moderne, contemporain n’apparaît dans ces pages et Noriko est vouée à vivre comme à l’époque d’Edo. Certains passages m’ont fait éclater de rire ; Noriko, en définitive, est une sorte de bamboula asiatique… (Pour être assurée de trouver un mari, la jeune Japonaise doit être maîtresse dans l’art de l’origami, par exemple…)
13 février 2017