122 deuxième rue…
« […] s’engagea dans la deuxième rue Hugo de Groot. » C’est-à-dire qu’il y a au moins deux rues Hugo de Groot à Amsterdam… (Eh bien, il ne se trompe pas : il y a trois Hugo de Grootstraat à Amsterdam : eerste, tweede et derde ; par quel mystère ?)
123 « elle sentait bon la fille »
Je ne sais dans quel sens « fille » est pris (ni quel est le mot original et s’il correspond bien), mais
ça me plaît et je comprends parfaitement (tout en étant incapable de définir cette sensation)…
Une écriture, une histoire d’homme, voir Nancy et ce que j’avais dit d’elle après ma première lecture d’un texte d’elle, puis les Japonaises où homme et femme se confondent ; j’ai au moins deux exemples en tête, les deux Shimazaki, Aki et Amiko, qui toutes deux utilisent des narrateurs masculins ; j’avais commencé le texte d’Amiko en pensant qu’il s’agissait d’une femme et je m’étais aperçu par la suite que je pouvais continuer à penser qu’il s’agissait d’une femme (d’ailleurs, Éléonore avait lu la totalité du texte en pensant qu’il s’agissait d’une femme et donc de relations homosexuelles). Idem pour Aki : les deux, homme, femme, sont interchangeables ; est-ce du fait qu’une femme écrit ? Je ne le pense pas. Il faudrait que je relise (ou lise) des textes écrits par des hommes qui utilisent une femme comme narratrice…