Il n’y a rien à faire ;
prédomine le caractère enfantin, tant de l’idée que de l’écriture, et peut-être
est-ce là, justement, sa particularité (à défaut d’originalité), celle d’être
une adulte qui continue (pourquoi : continuer ?) à écrire comme une enfant ; de
là, cette impression de collage, d’un paragraphe à l’autre, fragments prélevés
d’une version achevée et de multiples brouillons : deux lignes durant être en
littérature et en un mot basculer dans le cahier bleu à cadenas d’une gamine
rêveuse, aigrie et malhabile…