J’achève à l’instant Le marin sans lèvres que j’avais poursuivi avec un peu de mal à la terrasse du Bavarois (où je ne peux me défaire de cette impression quasi réalité que je suis exactement au même point qu’il y a dix ans), à cause du bruit, des voix des clients des tables voisines. Dans la postface, l’auteur dit qu’il s’agit d’histoires du temps de son premier voyage en mer, en 1957. Ça ne me fait pas changer d’avis. Ça ne m’intéresse guère…
14 août 2006