434 Le bain turc, d'Ingres, la toile ronde comme un œilleton, celui du
voyeur. Les nus excitants de Modi. Pour le premier, j'avoue que je n'y ai pas pensé
; pour le second, voilà qui rejoint ce que j'en disais dans le Dzien de
juin (ou du moins ce que je sous-entendais ; je ne l'avais pas écrit, je ne sais
pas pourquoi – peur de me tromper, du ridicule ?).
435
« La subtilité picturale du frémissant Livournais insuffle une vulgarité aristocratique à ses nus, juste une sensualité assez provocante pour exciter un homme comme dans la réalité, mais pas suffisamment vulgaire pour quitter l'art. » C'est de Modigliani qu'il parle, mais c'est la réflexion qui m'intéresse (voir Boldini et le fameux nu que j'avais « disséqué » dans La Rue et dont j'ai oublié le titre exact)... Reste aussi à voir ce qu’il entend par « vulgarité »…
451 OUI
pour Léo...
27 septembre 2000