J’achève Nabe ;
l'agacement et la lassitude l'emportent tout de même sur l'amusement... Outre
quelques notes, je relève ce passage pour Léo (je le lui enverrai) : « Ce n'est
peut-être que cela le désir entre un homme et une femme : la séduction
instantanée de tout le vocabulaire humain jusqu'au seul et dernier mot qui reste
: oui. La fonte des neiges de la langue des hommes. Oui ! »