Je poursuis Nabe. J’ai
failli abandonner, mais finalement me suis laissé aller. Pas trop de Céline avec
un peu de Dard inspiré (le second n’est pas très loin du premier non plus). Un
critique écrirait : truculent, débridé, gaillard, osé, insolent ; je dirais que
ce n'est pas déplaisant, qu'il y a de belles façons et le côté enlevé (et
envolé) n'est tout de même pas à rejeter, même si en l'occurrence il n'invente
pas grand-chose (mais qui invente ?).
14 août
2000