« In love one should exercise economy of intercourse. None of us can love for ever. Love will be stronger and last longer if there are impediments to its gratification. If a lover is prevented from enjoying his love by absence, difficulty of access, or by the caprice of coldness of his beloved, he can find a little consolation in the thought that when his wishes are fullfilled his delight will be intense. But love being what it is, should there be no such hindrances, he will pay no attention to the considerations of prudence ; and his punishment will be satiety. The love that lasts longest is the love that is never returned. »

« En amour, on devrait exercer l’économie des relations. Personne ne peut aimer pour toujours. L’amour sera plus fort et durera plus longtemps s’il y a des obstacles à sa gratification. Si un amant ne peut jouir de son amour du fait de l’absence, de la difficulté d’accès, ou d’une froideur capricieuse de la part de son bien-aimé(e), il peut trouver un peu de consolation dans la pensée que lorsque ses désirs seront pleinement satisfaits, sa joie sera intense. Mais l’amour étant ce qu’il est, de telles entraves ne devant pas être, il n’accordera pas la moindre considération à la prudence ; et sa punition sera la satiété. L’amour qui dure le plus longtemps est l’amour sans retour. »