Éléonore est dans les étages avec un ou deux « students », cela m’a contraint à me lever plus tôt et à aller vite prendre mon petit déjeuner et revenir me « terrer » (mais j’aime cette terre-là) au grenier, et plus précisément dans mon bureau où, à la douce chaleur de mon petit chauffage d’appoint (qui tombe à point – y a-t-il un lien entre les deux ?) et bien calé dans mon fauteuil, j’ai lu Mandiargues, NRF 96, « La voix basse », poème de trois pages que j’ai avalé avec l’impression d’un manque...
20 février 2006