Après avoir regardé la seconde moitié du huitième épisode de la saison 3 de L’amie prodigieuse (bizarrement, je comprenais mieux ici, à Mola, qu’à la maison alors que le son de ce poste est exécrable), je me suis remis à Mutis, dans la loggia (et donc face à la mer), puis, lorsqu’il a fait trop frais, dans le club près de la baie. C’est prenant, malgré quelques faiblesses du français, dommage, ce type d’écriture exige la perfection, en tout état de cause la plus grande rigueur... (Innocent a eu des nouvelles de Léo en France depuis une semaine ; moi non, et j’en ressens comme de la jalousie ; en tout cas, du ressentiment…)