(En passant commande d’un autre Murakami à envoyer à Samuel, je me suis aperçu qu’Hélène Morita a été la traductrice de 1Q84. Surprise de ma part. « Not surprising », m’a dit Éléonore, « c’est court et on a davantage de temps pour peaufiner le travail. » Je lui ai rétorqué que lorsqu’on n’a pas le temps de faire un travail proprement, on ne le fait pas… Il est possible aussi que ça vaille pour l’auteur et qu’il ait davantage soigné Birthday Girl que ses pavés…)

 

27 décembre 2018