Je suis à la page 108 et cherche en vain un qualificatif propre à circonscrire Mandiargues, à tel point que ma lecture en est gênée, obscurcie, reléguée à un autre plan ; cela m’impose l’arrêt et ici l’écriture. Fantastique ? Non. Baroque ? Non, trop connoté et insuffisant. Onirique ? Non, trop bête. Fantasmatique ? Non, réducteur. Mais je peux du moins parler de malice et de sournoiserie. Et puis l’écriture est belle. Au fait, de quand est-ce ? 1951...
14 mars 2005