« Tout au fond, dans le recoin le plus sombre du poulailler, une vingtaine de poulets apathiques étaient regroupés les uns contres autres, la tête pendante, immobiles. » […] « Ils sont bien calmes, commenta Adama. Non, ils sont malades, répondit l’éleveur. » […] « Rassurez-vous. […] Je dis qu’ils sont malades, mais… en fait, s’il s’agissait d’êtres humains, on dirait plutôt qu’ils sont névrosés. » Finalement, un cerveau d’homme dans un crâne de poulet et un cerveau de poulet dans un crâne d’homme, ce n’est jamais que la même chose. À quelques exceptions près...