« Le chauffeur, un butor aussi laid qu’antipathique, nous regardait rire et nous amuser comme des fous. Il y avait de la haine dans ses yeux, et cette haine même nous faisait chaud au cœur. J’avais enfin le sentiment que nous étions semblables aux adolescents européens et américains que j’avais toujours vus au cinéma. » D’une certaine manière, cette remarque est en complète contradiction avec la précédente...