« Ce type, avec son cerisier sur l’épaule, m’irritait au plus haut point. Il n’avait même pas eu le courage de se faire tatouer en couleurs. Je ne pouvais imaginer plus bas dans l’échelle humaine. Il avait dû autrefois être mêlé à quelque combine avec Sasayama, ou peut-être même s’être fait fendre le crâne d’un coup de bambou. En le regardant, je comprenais pourquoi le Japon avait perdu la guerre et pourquoi l’esprit japonais était parti en couille molle. CES TYPES NE SE RESPECTAIENT MÊME PAS EUX-MÊMES. » (Je respecte la typographie.) L’auteur à trente-deux ans, le narrateur (lui-même, adolescent) dix-sept. Il y a là quelque chose de très étrange...