« […] s’acharnaient avec l’aide d’une poignée […]. »
C’est de toute évidence une boulette d’ordre informatique : « avec » que le traducteur a voulu changer en « à l’aide », glissement qui a dû lui échapper à la relecture si tant est qu’il en ait eu le loisir (ou la volonté). Il n’empêche que tout comme chez Bourgois (voir les Murakami Haruki), Piquier ne juge pas nécessaire d’employer un lecteur-correcteur...