Au Klee, puis dans la salle 2, j’ai poursuivi Le Roman de Violette. Je l’ai achevé à mon bureau. Les scènes saphiques m’ont tiré une petite grosseur ; pour le reste, c’est gentiment érotique, délicieusement ringard et très mal fichu. En fin de compte, Violette n’est ici qu’un prétexte pour développer des scènes saphiques dont elle finit par être curieusement absente (elle disparaît mystérieusement pendant une trentaine de pages et lorsqu’elle réapparaît, c’est pour mourir à la toute dernière) ; la marquise en croquait-elle ? Si je suis allé jusqu’au bout, c’est parce que ça m’émoustillait, malgré tout, je ne vais pas le cacher (et sans y chercher une quelconque identification).
1er mai 2015