Livre de Poche, qui sort de je ne sais où
et que j’ai entamé dans la cuisine. Je me suis arrêté à la page 51,
à
cette phrase précisément : « Et son haleine est celle de la biche nourrie
d'olivettes. »
C’est, je pense, une bonne conclusion pour ce texte qui m’ennuie...
7 mars 2005