Repas, etc., télé son coupé (non, j’ai regardé – avec le son coupé et les sous-titres en guise d’entraînement pour le jour où je serais malentendant – un bout de Maison Russie, puis la fin de Mata-Hari avec Jeanne ; on dirait du Truffaut, est-ce de Malle, je ne m’en souviens plus, mais je jurerais que les dialogues sont de Truffaut – mais la mise en scène aussi, le ton, l’ambiance) et avec Jusqu’au-delà de l’oubli – ou « Jusqu’au bout », je ne m’en souviens plus, et le livre est en bas – que j’avais acheté chez Emmaüs il y a quelques jours – il en reste donc que je n’ai pas lus ? C’est pratiquement achevé. C’est du Modiano  pur jus ; pas la moindre surprise – quoiqu’une bonne partie se passe à Londres ; il est tout de même rare qu’il quitte Paris, ou ses environs immédiats –, mais je me laisse aller, sans déplaisir. Ça a tout l’air d’être autobiographique