p. 117 :
« Mon père avait pressenti, dès 1946, que le
IIIe conflit mondial
prendrait son origine au Moyen-Orient. »
Où est ce conflit mondial et à quoi sert ce
pressentiment ?
p. 119 : Hebron !
« Ainsi dans mon premier livre de 1980, j'avais traduit
deux quatrains dans lesquels le mot Hébron est cité et j'avais
titré l'un de ces deux quatrains : D'Israël la
guerre s'étend à l'Europe de l'Ouest. [...] Mon
père avait traduit le Hebro de Nostradamus par l'Ébre, le
fleuve d'Espagne. Une telle erreur fait automatiquement attribuer
le quatrain à un autre événement que celui auquel il se
rapporte en réalité [?]. Ceci est un exemple des
nombreuses corrections que j'ai apportées au travail
paternel. » Finesse ou imbécillité ? Les
corrections ont été apportées par le temps écoulé et non
par une meilleure « lecture » de la chose...
(problème éternel de la « traduction », la réponse
n'appartenant qu'à l'auteur).
p. 126 :
« Miller constitue une sorte de prophète du
XXe siècle. »
?! Et puis ?