M. alterne les termes « noir » et « nègre » (en 1930, le second n’était pas forcément péjoratif). Puis il écrit ceci :

 

« Un écriteau attire son attention : Cent vingt-cinquième rue ; il regarde à ses côtés : son wagon s’est changé en wagon de nègres ! Suspendus aux poignées de cuir par une longue main noire et crochue, mâchant leur gomme, ils font penser aux grands singes du Gabon… »